Mai 2016, de 7 à 17h, une journée à marcher dans Dallas entre deux aéroports, lors d'un retour d’Amérique Centrale vers la France.
Une chaleur qui devient progressivement écrasante, et sans but précis,  si ce n'est que marcher dans toutes les directions qui se proposent.
Une démarche solitaire et pressée par le temps, entre des images urbaines et une absence de vie piétonne là où ne se rencontrent que voitures et espaces isolés.